mercredi 30 avril 2008

mercredi 23 avril 2008

Oui, mes amis... C'est une belle page.


Je sais, je sais, j’ai une fois de plus pris un peu de retard... Mais je vous avoue que j’attendais d’avoir à disposition quelques photos! Ce qui devrait donner un aperçu à ceux qui n’étaient pas là (Dieu sait combien ils ont eu tort...), et raviver quelques sympathiques souvenirs de théâtre aux spectateurs venus nombreux. Autant rappeler d’emblée que c’est grâce à eux, à vous (et aux sponsors bien évidemment) que nous avons pu récolter un paquet d’argent pour l’asbl Renaissance. Ils vous remercient chaleureusement et vous sont infiniment reconnaissants de votre générosité.
La petite déprime post-theatrum a bien eu lieu: c’est comme quand on rentre d’un long voyage et qu’on quitte nos compagnons... Le contraste entre l’euphorie du week-end et la morosité inchangée du lundi matin et particulièrement violente. Mais la réussite de l’entreprise, l’excellence de notre prestation de samedi, le divin souvenir du bonheur d’être sur les planches, et le bombardements de compliments et de félicitations (hier encore..) suffisent largement à compenser la petite tristesse de
fin d’aventure.
Personnellement je garderai longtemps de l’aventure “Perrichon”. J’ai pris évidemment un plaisir fou à jouer, à découvrir le monde de théâtre (ses principes, ses méthodes, sa psychologie), à rencontrer un tas de gens formidables. Maintenant que tout est fini, je ressens en toute légitimité une grande fierté: fier de mes camarades, fier de notre petite troupe faite de bric et de broc, qui a fait de son mieux pour faire honneur à la pièce de Labiche.

Petite ronde d'honneur:


Ce brave Monsieur Perrichon, qui a fini par nous é-pa-ter. Un vrai défi, relevé avec brio – non sans sueurs froides... Vraiment, bravo.


Ce bon Daniel! Brave jeune homme, brave jeune homme... Chapeau bas! Ce fut un plaisir de jouer ces scènes avec lui. Malgré son arrivée tardive, sa jambe cassée et ses dialogues lorgnant vers le monologue, Arthur a su créer un Daniel plus vrai que la nature.


Henriette, ma chère Henriette! Faire semblant d'être amoureux d’elle fut la chose la plus facile du monde. :-) Em t'as tout tué, t'étais parfaite.


Un bouquet de Dahlias à Anne pour son inoubliable Madame Perrichon. Tordant.


Commandant, j'ai bien l'honneur! Raph était juste parfait. Ma scène avec lui était une de mes préférées.


JEAAAAANNE! Est-elle BÊTE cette Perruche! Total respect.. La Jeanne d’Auriane en a bluffés plus d'un...!


Ce bon Majorin... Bravo Christophe pour sa prestation... Et son self-made maquillage!


Max, trop fan d'avoir vécu ça avec toi, je sais à quel point ça te tient à coeur.. Ton Joseph était génial!!

Revenons à la ronde des mercis: à Bernadette, notre formidable scripte, son soutien, son aide précieuse, et son incroyable disponibilité!
Et puis un énorme bravo et un merci plus grand encore à Guillaume, notre dévoué metteur en scène, dont j’admire le talent, énorme, et sa patience, surréaliste. Sa gentillesse. Mille mercis aussi à José-Noël, pour son soutien, ses très précieux conseils, sa présence... Ce fut un honneur!
Merci infiniment à Brigitte, à Carine, à Viviane, à celles qu'on en connaît pas et qui se sont impliquées corps et âme depuis beaucoup plus longtemps que nous... Quelle équipe de choc!!

Je vous laisse avec quelques photos de la pièce: (grand merci à Jean Frédéric Speth pour les photos! Il y en a plus par ici)









Et un moment qui en a marqué plus d'un... :-)

mardi 1 avril 2008

Erased


Un mec s'est demandé ce que
deviendrait la BD Garfield... sans Garfield. Résultat? Une joyeuse exploration de la dépression, la schizophrénie, le trouble bi-polaire... C'est très drôle.

Le blog, c'est ici.