dimanche 30 septembre 2007

En état de marche


Psychologies est un mensuel qui existe depuis euh... quelques années. Une formule simple ("Mieux vivre sa vie."), des sujets intéressants (nous, nos vies, nos psychologies), une approche accessible... Le magazine a bénéficié d'un beau bouche à oreille, et fort de son énorme succès, il existe aujourd'hui en Chine, Russie et Afrique du Sud. Chaque mois un dossier, une fouletitude d'articles, un petit test, des entretiens, des chroniques de bouquins... C'est toujours très intéressant. Pour ma part je l'achète deux ou trois fois par an. L'ennui ce sont les pubs, qui ne parlent que de rouge à lèvres, de crèmes hydratantes et de parfums, cible facile pour les moqueurs... Jusqu'à ce que je dégaine, page 42, la pub pour la nouvelle BMW Série 3. Les annonceurs comprennent doucement qu'il n'y a pas que des gonzesses qui lisent Psychologies.

Bref, trève d'introduction.

Dans le dernier numéro est paru un article sur la marche. Marcher. Mettre un pied devant l'autre et puis recommencer. Si je tenais à en parler, c'est parce qu'il a su mettre des mots sur cet état d'esprit dans lequel nous plonge la marche et que j'aime. J'adore les randonnées (grandes ou petites), les ballades, la petite trotte. Quand je rentre du bureau, s'il n'y a ni déluge ni aucun rendez-vous qui ne me presse, je rentre à pattes. "Ca me fait du bien.", me disais-je. Certes, mais en quoi? Ses effets bénéfiques se ressentent de manière inconsciente. Heureusement que les philosophes sont de temps en temps là pour penser à notre place.

Celui avec lequel s'entretient la journaliste (un certain Christophe Lamoure) établit un parallèle intéressant entre le marcheur et le philosophe: le but n'est pas d'aller d'un endroit déterminé à un autre, mais de faire route. L'essentiel est de cheminer. Un pied devant l'autre, une pensée après l'autre. La philosophie n'a-t-elle pas fait ses premiers pas en marchant? Kant, Nietsche, Platon, Socrate et Aristote ne diront pas le contraire.

Eh oui: la marche est à sa façon une école de sagesse, elle aide à penser. Inutile de se forcer: ça vient tout seul. Plus conscient de notre corps et de notre contact de celui-ci avec la terre, c'est à notre esprit que nous donnons une bouffée d'oxygène. On ouvre les fenêtres de nos états d'âme, de nos pensées. L'occasion de faire le ménage, d'ordonner un peu tout ce boxon, de fouiller dans les archives, voire de trouver quelque chose de neuf. La marche en montagne (ou dans la nature) est bien sûr plus propice à la pensée que celle en ville, qui s'avère plus utilitaire, plus mécanique. La marche est riche de pensées si elle est libre, libérée. La lenteur, le rythme, le mouvement, l'éveil des sens, la façon d'entrer dans les paysages... Quelles meilleures conditions pour redonner du temps au temps, pour s'entretenir avec soi-même? Un jour, c'est sûr, je repartirai sur les chemins de Saint Jacques.

Ne vous y méprenez pas, loin de moi l'idée de commencer à philosopher à chaque fois que je marche plus de dix minutes... Mais il est pour moi clair que ça fait du bien: les soucis s'évaporent au fil des pas, l'esprit s'évade et vagabonde... La marche, qu'elle amène à penser ou non, et quelles que soient les conditions, est toujours propice au ressourcement. Il suffit de savoir en profiter et d'en faire bon usage.

Ah tiens, maintenant que j'y pense, il faudrait que je m'achète un vélo.

Un petit robot


Le voici. Regardez-le, perché sur son tas d'ordures, les yeux (et quels yeux!) levés vers les étoiles. On pense à E.T., ou à Short Circuit (Appelez-moi Johnny 5 en VF, film de mon enfance ressurgi d'un tiroir poussiéreux de ma mémoire). On ne connaît pas encore son histoire, mais ce petit robot est le héros du prochain film des Studios Pixar, cuvée 2008. "Wall-E" (titre étrange), qui sortira en juillet de l'an prochain, est réalisé par Andrew Stanton, qui n'est pas n'importe qui chez Pixar. Après la déception de John Lasseter (Cars), seul faux pas dans la carrière du studio, et les deux splendeurs du génie Brad Bird (The Incredibles et Ratatouille), on peut compter sur Andrew Stanton (co-réalisateur de A Bug's Life et réalisateur de Finding Nemo) pour assurer le rythme de croisière hallucinant des Studios Pixar, d'une incroyable constance dans la qualité de ses films. Richesse et solidité des scénarios, maîtrise d'une technique chaque année plus performante... L'été 2008 plus folichon que l'été 2007? Il y a de l'espoir.

dimanche 23 septembre 2007

L'Enfant


Roumanie, 1987: rien n'est simple. Si dégotter le bon fournisseur de clopes sur le marché clandestin ou tromper la controleuse de tram est faisable, aider sa co-chambreuse à avorter est une autre paire de manche. Mais c'est ce qu'a promis Ottilia, la débrouillarde, à Gabita, qui l'est beaucoup moins. Et leur amitié sera soumise à l'épreuve. De cette histoire, très simple, Cristian Mungiu tire un surprenant suspense dont la tension s'accroît de scène en scène. Ce suspense est taillé à l'échelle humaine, car le scénario s'en tient à sa simple situation dramatique sans la surcharger, et se concentre sur le parcours de combattant de l'héroïne, qui n'est pas (excellente idée) celle qui veut avorter, mais celle qui est déterminée à l'aider. Les conflits dramaturgiques qui parsèment son parcours sont si simples, si quotidiens, que la cruauté de la société décrite (oppression, paranoïa, morosité) n'en est que plus terrible. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, 4 mois, 3 semaines et 2 jours (pas besoin de vous expliquer le titre) n'est pas un film sur l'avortement, mais sur nos choix individuels, au sens large, qui se trouvent étouffés, vampirisés et compromis par une société ou la liberté s'est évaporée en utopie.
A l'aide d'une remarquable direction d'acteurs et d'une mise en scène implacable faite de plans très longs (fixes ou à l'épaule), le film nous happe dès le début et nous scotche littéralement à notre fauteuil jusqu'à ce dernier regard final, terrible, et coupé cut sur le noir du générique, à la manière des Dardenne. La référence aux cinéma des frères compatriotes s'étend d'ailleurs au film tout entier: pas un pet de musique, un gros travail sur le son hors-champ, un réalisme extrême dans les images et les situations, et des personnages vrais, faits de chair et d'émotion. D'émotion retenue: Cristian Mungiu refuse le mélodrame ou le chantage lacrymal (je n'ose imaginer ce qu'en aurait fait un Lars on Trier). Larmes ravalées, la gorge en est d'autant plus nouée. Fort et dur (enfant NON admis), prenant et maîtrisé... 4 mois, 3 semaines et 2 jours, n'a pas volé sa Palme d'Or.
Un des films de l'année, vivement recommandé par votre serviteur.

samedi 22 septembre 2007

Petit Oiseau

"Un vingt-deux de septembre au diable vous partites,
Et, depuis, chaque année, à la date susdite,
Je mouillais mon mouchoir en souvenir de vous...
Or, nous y revoilà, mais je reste de pierre,
Plus une seule larme à me mettre aux paupières:
Le vingt-deux de septembre, aujourd'hui, je m'en fous."

Poster un message un 22 septembre, c'est rendre hommage à Tonton Georges. Obligé. Dans cette charmante vidéo, il accompagne le grand Charles Trénet (d'ailleurs il s'en rend compte et se rassoit aussitôt) avec une chanson toute mimi. Magique.

dimanche 16 septembre 2007

A spoonful of sugar


Ca, c'est la tête que tirais en revisionnant Mary Poppins, que je n'avais plus revu depuis des années... En 1964, Walt Disney, a réalisé le film familial ultime: dans Mary Poppins , on voyage à travers les dessins, les oiseaux chantent en choeur, les jouets se rangent en un claquement de doigts, le rire est une maladie contagieuse qui nous fait élever dans les airs, la nounou magique devient mère de substitution, et à la fin le papa rigide comme une pendule retrouve son âme d'enfant... Quel que soit l'âge du spectateur, il est proprement impossible de résister au charme de ces effets spéciaux, à la joie inouïe de ces chansons (gravées au burin dans la mémoire de tous ceux qui l'ont vu), au talent comique de Dick Van Dyke et, surtout, à Julie Andrews, plus belle que jamais (particulièrement avec de la suie sur le minois)... En un clin d'oeil, elle est entrée dans l'histoire du cinéma, et avec elle ces innombrables scènes d'anthologies (mention spéciale au "Step in time " des ramoneurs à claquettes). Ode à l'imagination, à l'enfance et à la joie de vivre, Mary Poppins est un émerveillement constant qui fait rêver les gosses et fait retomber les adultes en enfance. De plus, cet émerveillement (idée simple et géniale que je constate avec mon regard d'aujourd'hui) est personnalisé à l'écran par ces deux adorables frimousses (tiens, la gamine ressemble à Patricia Kaas): on ne compte plus les bouches bées. Ce qui me mène à l'argument choc à l'indispensable acquisition du DVD: il faut montrer ce film à ses enfants.
Et puis, en le revoyant aujourd'hui, on perçoit mieux, cachée à la fin du film, cette sublime note d'émotion: quand il est temps de repartir, Mary a accompli sa mission (rétablir l'affection entre parents et enfants), mais elle repart seule, le coeur serré. Car, comme le lui rappelle son parapluie parlant, ces enfants, elles les aimait. "Spit spot", le verdict est indiscutable: chef-d'oeuvre.

J-20

Voici un petit rappel pour ceux qui n'auraient pas encore réservé leur place... N'hésitez plus, c'est maintenant qu'il faut réserver! Nous sommes dans la dernière ligne droite, on est chaud comme la braise, ce concert s'annonce splendide! Hâte d'être sur les planches, coeur battant et cordes vocales on fire.
Une adresse mail: info@carpecantorem.org
Un numéro de gsm: 0487/734 431

lundi 10 septembre 2007

Longue vie au Roi Roger!


Il l'a fait... Quatrième US Open remporté d'affilée... Personne de l'avait fait depuis 85 ans - genre. A seulement 26 ans, Federer, ce génie magrittien de la raquette, a gagné son douzième titre en Grand Chelem. Alors non seulement il va dépasser le record détenu par Sampras (14), et peut-être même l'année prochaine, mais il va selon moi le pulvériser... Quand il aura fini sa carrière (avec, quoi, 20 titres du Grand Chelem?), bon courage à celui qui voudra le battre - le record.

Je l'aime.

PS: Bon, et bravo Juju - quand même...

dimanche 9 septembre 2007

Six pieds sous terre

Ca y est, enfin, je viens de commencer la quatrième saison de "Six Feet Under", excellente série produite par et pour HBO, et achevée en 2005 avec la cinquième saison - *allez, on y est presque!* Pour ceux qui ne connaissent pas, ça se passe dans une famille qui tient une entreprise de pompes funèbres. La vie, la mort, la perte, l'espoir, l'amour, le désarroi... C'est parfois drôle, parfois triste, toujours attachant. Moi le gros nul en séries télé (jamais rien vu de "24h Chrono", "Les Sopranos", etc.) ce sera donc la seule et unique que j'aurai vue en entier, et je me réjouis déjà de la proclamer meilleure série que j'ai jamais vu. Plus sérieusement, c'est du haut de gamme en termes de scénario, personnages, et décharge d'émotion. Le premier épisode de cette quatrième saison est aussi un des meilleurs vus jusqu'ici. Larmes tombées du balcon, jusqu'au menton.

There will be a masterpiece...

Nous n'avions plus de nouvelles de Paul Thomas Anderson depuis le très chouette "Punch Drunk Love", comédie romantique avec Adam Sandler comme on ne l'avais jamais vu. Avec "There Will Be Blood", le réalisateur de "Boogie Nights" et de "Magnolia" (excusez du peu) revient enfin avec sur les écrans. Regardez-moi ça... Ca a l'air terrible. Sans doute Daniel Day-Lewis aura-t-il l'ocasr qu'il aurait dû avoir pour "Gangs of New York". En tout cas, la moustache est la même. Vivement 2008...

Se7en - la suite

Les 7 péchés capitaux, ça on connaît. Pas seulement grâce à un film de David Fincher ou Brad Pitt devient COLERE à cause de l'ENVIE d'un serial killer psychopathe,

ou une émission de télévision pitoyable présentée par Julien Courbey. Et puis, au moins une fois par jour on renouvelle son billet pour l'enfer une fois que tout sera fini. De mon côté, si j'en crois un stupide test trouvé sur le web, c'est la PARESSE que se taille la part du lion. L'orgueil, l'avarice et la colère, je m'y retrouve pas beaucoup, l'envie c'est quand je vois la pub scandaleusement bonne pour Euromillions, et la gourmandise et la luxure démontrent leur appétit régulier mais variable: l'occasion fait le lardon.

Tout le monde connaît les 7 péchés capitaux, mais peu de gens savent qu'il existe 7 vertus qui viennent équilibrer ces sordides péchés... Les 4 premiers sont les vertus "cardinales", les 3 suivantes les vertus "théologales" (pour vivre en ralation avec Dieu, dans la sainte trinité - oui, oui, ça rigole pas).

- la PRUDENCE: à consommer sans modération: on n'est jamais trop prudent.
- la JUSTICE: ce qui est juste est bon. Cela va de soi.
- la TEMPERANCE: trop is te veel.
- l'ARDEUR: sois un homme, mon fils. (avec ou sans couilles)
- l'ESPERANCE: j'espère que Federer va gagner l'US Open.
- la CHARITE: et plus si affinités. Etre gentil ça rend heureux.
- la FOI: ceux qui en ont la gardent précieusement - elle est fragile par les temps qui courent.

Un peu de tout ça par jour peu faire beaucoup de bien.

mardi 4 septembre 2007

"Jindabyne"

Dans la région de Jindabyne, bled archipaumé en Australie, un groupe de pêcheurs trouvent le cadavre d'une jeune aborigène dans une rivière. Leur réaction provoquera pas mal de remous dans la petite ville, et aura de solides répercussions sur le héros: vie de couple pourrie, et énorme problème de conscience. Le meurtrier, lui, court toujours. (oui, non, c'est pas comique)
Il est évident que ce qui intéresse Ray Lawrence n'est pas l'intrigue qui, étalée sur deux heures, peut paraître maigre, mais bien les personnages paumés et à travers eux, les comportements humains, leurs sombres étas d'âme. Sa direction d'acteurs est en ce sens excellente... Gabriel Byrne (quel plaisir de le revoir...!) livre une des meilleures performances de sa carrière. Tous ceux qui l'entourent (de Laura Linney aux enfants en passant par les vieux) assurent. La nature, fort présente, épaissit davantage la profondeur psychologique. J'ai adoré le réalisme (de la photo, des acteurs), la non-lourdeur, le rythme volontairement lent (car le temps, là-bas, est un poids)... Et cette fin, super audacieuse.

Peut-être pas aussi fort que l'excellent "Lantana" (2002), "Jindabyne" est un drame sombre vraiment interpellant. A conseiller, vraiment.

dimanche 2 septembre 2007

Le printemps fait des prolongations

- La folie, en l'espace de trois jours, j'apprends que trois (euh non... quatre, en fait. Voire cinq!) de mes potes viennent de se caser (entre eux, donc). Mais comment ils font? Ca n'arrive qu'aux autres. "Ne cherche pas, attends qua ça te tombe dessus!" C'est ça, c'est ça... Enfin bref. Je vais pas m'étaler là-dessus. En tout cas ça fait plaisir, tous ces petits couples qui se forment. Ya plus de saison, Madame, tout fout le camp! C'est vrai, quoi, on se croirait au printemps... Et comme dit Lafesse, pourvu que ça dure!

- Hier soir, fête de la bière à la Grand-Place. Au menu: une Malheur 6, deux Val-Dieu brunes, une Triple Karmeliet, et puis une bonne pils. Pas énorme, il est vrai, mais pour mes tissus sanguins c'est bien assez pour activer la cinquième vitesse du papotage. Idéal pour dégoter quelques confidences intimes (cfr. ci-dessus), aussi.


- Le Standard de Liège est en forme. http://www.youtube.com/watch?v=AMtze6U95UM&mode=related&search

- Ca y est, j'ai réservé ma place pour le concert des Arcade Fire, ce 2 novembre à Forest-National. Après la terrible déception du mois d'avril (annulation du concert aux Halles de Schaerbeek pour cause de sinusite du chanteur... mes couilles, oui) et l'impasse du Pukkelpop, ça se concrétise enfin: je vais les voir sur scène, et je suis chaud bouillant, comme tous les Bruxellois frustrés du printemps. Leurs albums sont de vraies splendeurs, et la puissance lyrique de leurs chansons de demandent qu'à être offertes sur scène. Les concerts des canadiens jouissent d'autant plus d'une réputation phénoménale. Bon, c'est un peu chérot (31 euros), et Forest n'est pas la meilleure salle de Bruxelles acoustiquement (l'AB aurait été idéal), mais ce serait dommage de rater ça. Fans, n'hésitez plus.

- BACK TO HELL: Demain, retour au boulot. Curieux de voir comment mon boss s'en est sorti. La semaine avant de partir j'ai encore dû lui dire comment on faisait pour faire un copier/coller. Essayez un peu de dire "Pomme C pomme V" à votre supérieur-celui-qui-décide-de-te-virer-ou-pas sans ricaner... Bon, d'ici la fin du mois je demande une augmentation. Engueulez-moi si c'est pas fait.

Baptême

Ca y est. "Votre blog a été créé. Maintenant, postez des messages." Ou quelque chose dans le genre. Ca y est. J'ai l'air malin, maintenant. J'ignore encore pourquoi j'ai décidé de créer un blog... Autrement dit, j'ignore encore à quoi il servira, j'ai pas la moindre idée de ce que je vais bien pouvoir raconter.

- Pas envie d'étaler ma vie privée: bien que ma vie sentimentale complètement naze soit une vraie saga qui déchaîne les passions chez certains de mes potes, je préfère la réserver aux confidences autour de quelques verres de bière.

- J'ai pas de petits dessins à montrer: je ne dessine pas assez bien, ou plutôt, je ne dessine plus. Je ne fais pas non plus de musique. En tout cas, j'enregistre rien puisque je ne sais pas composer.

- Je fais pas le tour de la terre en trotinnette ou à rollers pendant trois ans.

Bon... Il me reste quoi...? Ah oui: mes goûts et mes humeurs. Voilà, c'est réglé. Les goûts et les humeurs, tout le monde en a, tout le temps. On n'en vient jamais à bout. Ca me fait une bonne source de contenu! Pas d'excuses, donc, je devrai poster des messages. A condition d'avoir l'envie.

Reste un problème: tout ça n'intéresse que moi.

Bref, ça s'annonce passionnant.

A.