- Trois premiers jours au nouveau boulot. Mes nouveaux petits camarades: que des nanas. Je veux dire, des madames. Sympa, compétentes, pas trop bavardes. L'essentiel de mon activité se résume à la lecture, et à l'assimilation d'un maximum d'informations. Jusqu'ici tout va bien.
Je découvre Windows Vista. Mouais. Le Mac me manque déjà. Je redécouvre les joies du métro, qui se transforme en boîte à sardines entre Mérode et Arts-Loi. Serrons-nous, serrons-nous!
- Mes courses de Noël sont faites. Résultat: un sac en papier Fnac bien chargé. Et bien sûr, la moitié ce sont des petits imprévus cadeaux de moi à moi. Une année j'essaierai d'être original.
Petite transition sur un sympathique projet caritatif initié par l'illustratirce Pénélope Bagieu: Mon Beau Sapin. Cliquez! Et cliquez encore. Les petits zenfants auront des zolis cadeaux. Cliquez ici, ça vaut le coup d'oeil.
- J'ai vu, en DVD, Camille en concert (extrait de sa tournée Music Hole). Quand elle ne fait pas le clown, eh bien... Ca TUE. Elle est accompagnée par un piano seul, ainsi qu'une petite troupe très impressionnante de 9 choristes/danseurs/body-percossionnistes/beat-boxeurs... et même de son chien. Brad Pitt. La générosité et le dévouement de l'artiste, son amour pour la voix et les rythmes du corps, n'étaient plus à prouver. La beauté de ses chansons, par contre, se laisse totalement redécouvrir. Les arrangements, tous inédits, sont riches, surprenants. Les impros beat-box de Sly (du Saïan Supa Crew) laissent sans voix. Le public du Zénith est heureux, amusé, fasciné. Le spectacle, tant visuel que sonore, à l'allure d'une folie sous contrôle. Il est filmé e. a. par Vincent Doom, l'un des piliers fondateurs des "Concerts à emporter", visible sur la Blogothèque. Ce qui est génial avec Camille, c'est qu'elle fait absolument ce qu'elle veut. Rien ni personne ne pourra l'empêcher de faire son truc à elle, sa musique reconnaissable entre mille.
- J'ai lu: Les Dix Petits Nègres d'Agatha Christie. Dix personnes ayant commis un crime qui a échappé à la justice ordinaire sont réunis par un homme-mystère sur une île. Ils sont font assassinés l'un après l'autre, comme dans la comptine pour enfants. L'organisateur diabolique est parmi eux. Il sera révélé dans l'épilogue. C'est plaisant, mais je préfère de loin les intrigues où c'est Hercule Poirot qui mène l'enquête. Avec Peter Ustinov en tête.
- Je lis: Psychologies, le numéro de décembre (ça faisait longtemps). Le dossier parle du merci, des effets bénéfiques de l'expression de la reconnaissance. Un mot qui a fort peu résonné entre les murs de mon ancien bureau.
- Je lis aussi: Jimmy Corrigan, The Smartest Kid On Earth, de F. C. Ware. Un brique de 380 p. (pour une BD, ça n'est pas rien) sur un célibataire qui a un boulot de merde, une mère poule et une vie sociale misérable. Je ne suis qu'au début et c'est très très bon. Après le prologue en enfance, il y a une très belle ellipse:
- Une personne sur cette photo est morte. Sauras-tu la reconnaître?
3 commentaires:
haaaa les joies du métro! En tout cas ici on a de la place! et il peu courir pour qu'on se serre ;-) ...beuah ça fait froid ds le dos.
...dernière dédicace de ton post est terrible. Mort... de rire.
Usé 2.
Hyper-giga-supra (bref) très sympa ton blog que je découvre de fil en aiguille ! Et pour le mort sur la photo, je mise sur la première dame à droite et puis zut c'était le type à l'intérieur de la télé ;-)
Merci merci Saab! Tu passes quand tu veux. :-)
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